Ce soir, assise dehors sur le banc de pierre, en train de croquer un quartier de pomme rouge, je regardais le paysage qui était tout entier en traits délicats.
Le crépuscule ne laissant bientôt voir que le fond du jardin, me fit allumer la lanterne.
Soudain sorti de nulle part, un énorme papillon de nuit venu sans doute d’Afrique, gros comme la main d’une fillette, me frôla pour venir me saluer et se réchauffer un instant tout près de l’éclairage avant de repartir dans les ténèbres.
Quand on s’intéresse un peu à la question des champs du possible, quelle drôle d’aventure, traverser les océans pour arriver ici en Franche-Comté.
Ce soir, assise dehors sur le banc de pierre, en train de croquer un quartier de pomme rouge, je regardais le paysage qui était tout entier en traits délicats.
Le crépuscule ne laissant bientôt voir que le fond du jardin, me fit allumer la lanterne.
Soudain sorti de nulle part, un énorme papillon de nuit venu sans doute d’Afrique, gros comme la main d’une fillette, me frôla pour venir me saluer et se réchauffer un instant tout près de l’éclairage avant de repartir dans les ténèbres.
Quand on s’intéresse un peu à la question des champs du possible, quelle drôle d’aventure, traverser les océans pour arriver ici en Franche-Comté.